Où les trouver ?

Votre objectif est de faire appel à un développeur web freelance qui se chargera de vous faire un site internet remarquable. Votre première piste de recherche devrait être les sites de mises en relation freelances et clients. Ces sites constituent une mine d’or : ils renferment une riche base de données de développeur web. D’un côté, il existe des plates-formes généralistes, bien qu’elles soient uniquement axées sur les métiers de l’informatique. D’un autre côté, vous avez celles qui sont spécialisées dans les profils « développeur web ». Parallèlement à ces plates-formes, des communautés de freelances ont vu le jour. Ce sont des travailleurs indépendants qui décident de s’associer dans le but d’améliorer leur promotion et leur communication. Ces communautés sont nombreuses à posséder des sites internet. Pensez toujours à lire les conditions générales d’utilisation des services des plates-formes de mise en relation et des sites de communautés de freelance. Les réseaux sociaux professionnels constituent la troisième piste à privilégier. Enfin, il y a les sites d’emploi même si les personnes qui y postent leur CV sont généralement à la recherche d’un travail salarié. L’efficacité de cette solution est donc assez aléatoire. Cela ne vous empêche pas d’y dénicher quelques candidats en freelance. Concernant les sites d’emploi, vous devez généralement souscrire un abonnement payant afin d’accéder à leur CVthèque.

Pourquoi les préférer aux agences ?

Il n’y a pas que l’avantage financier. Oui, les services des freelances coûtent moins cher que les prestations d’une agence ou d’une entreprise informatique. Cependant, les atouts des développeurs web travaillant en freelance ne s’arrêtent pas là. L’aspect humain de la collaboration mérite d’être précisé. Avec un freelance, la communication est plus facile. La proximité entre client et prestataire est réelle. Les notions de disponibilité et de dévouement sont également effectives. En somme, un freelance assure une excellente relation clientèle, car elle est personnalisée, sur mesure, sans compter que c’est dans son intérêt de la soigner.

Comment les rémunérer ?

En principe, un développeur informatique travaillant en freelance a déjà une grille tarifaire qu’elle applique à chacune de ses missions. Ceci étant, le client peut lui aussi lui proposer un tarif. Par ailleurs, les négociations tarifaires sont possibles, ce qui n’est pas le cas si vous approchez une agence. Toutefois, ne soyez pas dans un esprit d’exploitation : faites preuve de décence lorsque vous avez la possibilité de fixer le prix de la mission d’un commun accord. Notez que les tarifs sont élevés, car il s’agit d’experts particulièrement recherchés à l’heure actuelle où la digitalisation bat son plein.

Quels sont les documents nécessaires ?

Il est recommandé d’établir un contrat de prestation écrit. En outre, le cahier des charges est incontournable, car le développement web est un domaine complexe dans lequel la précision est fondamentale. La rédaction initiale du cahier des charges est à la charge du client. Puis, les deux parties procèdent conjointement à l’amélioration de son contenu. Enfin, vérifiez que le développeur web freelance est en règle vis-à-vis de l’administration.

Adaptez-vous

L’ambiance au travail n’est pas vraiment ce que vous espériez ? Votre nouveau chef de service est une vraie teigne ? Vos collègues n’arrêtent pas de vous mettre des bâtons dans les roues ? Dites-vous bien qu’il n’existe aucune atmosphère de travail parfaite. Cela veut dire que vous devez vous adapter. Il y a de bons jours, trop souvent, il y a de mauvais jours, acceptez les choses telles qu’elles se présentent. Le monde du travail n’est pas toujours celui de bisounours. L’essentiel, c’est de vous donner dans votre travail, de faire en sorte que, malgré un contexte pas toujours facile, vous réalisez vos tâches dans les temps et correctement.

Soyez réaliste

On ne vous traite pas comme vous le voudriez ? S’il n’y a rien que vous puissiez faire pour y remédier, faites avec. N’ayez pas des attentes trop irréalistes. Votre patron vous a donné un travail, c’est déjà énorme, ne vous attendez pas non plus qu’il vous donne tout ce qui vous fait plaisir. C’est tout bonnement impossible, comme il ne peut pas accéder à toutes les demandes de tous les salariés. La meilleure chose à faire est de vous concentrer sur vos tâches, d’être le plus professionnel possible. Oui, montrez à votre employeur que vous appréciez votre job !

Respecter la régularité

Avant toute chose, il est important de noter que la régularité compte beaucoup dans l’envoi de newsletters. C’est la base de la stratégie de l’e-mailing. L’idée est d’habituer les abonnés à recevoir vos lettres pour pouvoir les fidéliser. Veillez toujours à respecter le temps et l’heure d’envoi de vos nouvelles. Sachez que les lecteurs attendent de les recevoir de l’autre côté de l’écran. Si vous voulez garder la fréquence d’envoi en une fois par mois, il faut bien choisir le bon moment pour ce faire. Au cas où vous optez pour un envoi par semaine, il faut toujours le faire le même jour. Évitez de changer votre rythme, que ce soit pendant les vacances ou par simple oubli. Cela va vous induire en erreur et vous serez aperçu comme spammeur. Par conséquent, vous perdrez un bon nombre d’abonnés et cela peut également nuire à votre image.

Trouver la fréquence parfaite pour l’envoi

Généralement, vous pouvez toujours envoyer vos nouvelles à tout moment. Cela dit, certains activités et contenus ont leurs périodicités respectives. A titre d’exemple, un blog de veille digitale et web doit garder une fréquence d’envoi hebdomadaire, voire même journalière. C’est le rythme idéal dû au nombre de nouveautés et d’informations qui sont publiées chaque jour dans ce domaine. Par contre, pour un artisan créateur, il est préférable d’envoyer des newsletters le plus rarement possible. La raison est qu’il doit encore créer de nouveaux produits qui nécessitent un temps fou. De cette manière, il aura de quoi à impressionner ses lecteurs à chaque nouvel envoi. Pour les fidéliser, assurez-vous qu’ils reçoivent un contenu nouveau et pertinent. Quelle que soit l’activité, de nombreuses entreprises dont les commerces choisissent une fréquence mensuelle ou bimensuelle. Ceci étant, l’envoi trop fréquent peut lasser les abonnées alors qu’une fréquence très rare peut vous entrainer dans l’oubli.

La réactivité qu’il offre

La page https://www.appvizer.fr/magazine/relation-client/customer-relationship-management-crm/definition-crm-customer-relationship-management-ou-grc-1470121792 donne une définition complète du CRM. En parcourant ce qui est écrit, on apprend que le CRM permet de mieux connaître vos clients. Et qui dit « meilleure connaissance », dit également anticipation des besoins. Quand un client vous contacte, une petite et rapide manipulation sur le logiciel et vous avez sous vos yeux les informations le concernant. Vous répondez donc plus rapidement à ses besoins et attentes.

La créativité qu’il impulse

Dans le précédent paragraphe, il a été question d’anticipation des besoins de votre client. Il y a mieux encore : créer pour lui une offre sur-mesure et à laquelle il ne s’attend pas. Les informations récoltées par votre logiciel vous permettent de mettre en place ce genre d’initiative. La créativité est essentielle, y compris dans les mails que vous envoyez à vos clients. Ils vous jugent, en partie, sur votre capacité à les séduire, à les impressionner, à les surprendre.

Le suivi des prospects qu’il autorise

Même après une première mise en relation, qui date d’une semaine ou d’un mois voire plus, avec un prospect, vous pouvez donner suite. Il est essentiel de savoir relancer vos propects. Un logiciel de CRM vous facilitera la tâche, car les informations sur chaque prospect y sont bien conservées.

La campagne marketing ciblée qu’il permet

Les données, les fonctionnalités et les modules sur un logiciel de CRM vous aident à définir une stratégie marketing plus poussée, plus complexe et plus efficace. Le programme fourmille d’outils qui vous appuieront dans vos démarches.

Copy stratégie : l’essentiel

La copy strat s’appuie sur un document d’environ une page, connu sous le jargon commercial « Brief créatif », qui est donné et expliqué à l’agence publicitaire. L’objectif de la copy stratégie est de créer une certaine cohérence entre la stratégie de communication et la stratégie marketing. Elle permet d’indiquer ce que le message doit être et se présente sous forme d’une série de questions fondamentales :

• Quelle est la cible visée par la communication ?
• Quelle promesse et/ou bénéfice-consommateur faut-il mettre en exergue ?
• Sur quelle preuve le message publicitaire s’appuie-t-il ?
• Quel est le ton du message à adopter ?

Les principaux éléments constitutifs la Copy Strat

La Copy Strat peut être structurée à partir de différents éléments, mais d’une manière globale on peut résumer les principales rubriques comme suit :

• Le fait principal

Il s’agit de décrire la situation du produit ou de la marque à promouvoir dans son environnement en rapport avec l’activité de l’annonceur.

• Le positionnement

C’est le fait de déterminer la place que le produit ou la marque doit occuper dans l’esprit du consommateur vis-à-vis de la concurrence. Lorsqu’il est difficile de trouver le juste positionnement, il convient de trouver le point d’intersection de 3 paramètres : les attentes et besoins du public cible, la spécificité du produit ainsi que l’image de la concurrence.

• Les objectifs de l’action de communication

Le client annonceur doit préciser ses motivations et ambitions de communication : promotion, recrutement, génération de trafic, lancement de buzz, positionnement sur le marché, etc.

• Les cibles de la communication

Il faut définir les cibles de la communication selon différents critères comme le sexe, l’âge, la catégorie socio-professionnelle (CSP), ou encore la localisation géographique.

• Les contraintes

La création d’une annonce publicitaire requiert, dans certains cas, des moyens financiers conséquents. Il est en effet nécessaire d’envisager et d’inclure différentes contraintes dans le brief créatif. Ces dernières peuvent être d’ordre technique, économique, légal, budgétaire, etc.

Présentation

Si le multi-canal consiste uniquement pour une société à être présente sur différents supports, le cross-canal de son côté ajoute une nouvelle dimension à ce concept. Avec le cross-canal, chaque contenu proposé par la société devient complémentaire tout en étant indépendant. Pour simplifier la compréhension, il convient de s’intéresser au modèle classique du cross-canal. Dans ce dernier, une société possède trois boutiques à savoir la version physique, virtuelle et celle présente sur les réseaux sociaux. Avec le multi-canal, chaque boutique propose le même catalogue ainsi qu’une navigation propre et indépendante. En revanche, dans un système cross-canal, les boutiques peuvent interagir entre elles. Le client peut par exemple s’informer sur un produit via la boutique en ligne, demander ses caractéristiques ainsi que sa fiabilité sur les réseaux sociaux et effectuer son achat dans le magasin physique. Chaque support possède alors une utilité propre, mais complémentaire avec celle des autres.

Les enjeux

Le cross-canal permet de proposer une expérience unique au client. Celui-ci peut exploiter chaque support de la meilleure façon possible pour trouver ce qu’il cherche et revenir du magasin avec satisfaction. Le cross-canal tire également profit du nouveau mode de consommation multi-plateforme du consommateur moderne. À noter que le cross-canal se présente comme l’avenir du commerce grâce notamment à l’essor du mobile et des plateformes de partage.

Pourquoi utiliser des cartes de fidélité ?

Les cartes de fidélité permettent à une société d’identifier ses clients les plus fidèles et de leur proposer des avantages afin de stimuler ce comportement. Elles peuvent prendre deux formes à savoir matérialisées ou dématérialisées. Si la deuxième option est aujourd’hui devenue la norme, il faut noter que la version matérialisée continue d’avoir des adeptes. Pourtant, cette dernière pose divers problèmes notamment d’ordre pratique. Chaque carte doit être renouvelée périodiquement pour rester active ce qui peut laisser le client perplexe dans un monde qui bouge à une vitesse exponentielle. L’entretien des outils relatifs à son utilisation peut également engendrés des frais supplémentaires pour les sociétés ce qui peut se révéler problématique pour les plus petites.

Les atouts de la carte de fidélité

Malgré ses quelques faiblesses, la carte de fidélité reste un excellent outil de fidélisation. Avant tout, elle permet de toucher le client au quotidien à travers un ensemble visuel en accord avec l’image de la société. Ensuite, elle permet de réaliser des achats de manière pratique puisqu’elle offre la possibilité de se passer d’une carte de crédit ou de liquide. Le client se sent alors plus léger et à l’aise ce qui aura un impact direct sur son comportement. Enfin, elle stimule la consommation du client puisque ce dernier sera moins enclin à surveiller les prix dans la mesure où il peut payer avec de « l’argent bonus ». Les avantages offerts par la carte de fidélité favorisent aussi la création d’un lien privilégié entre le client et l’entreprise.

Newsletters et réseaux sociaux, le duo gagnant

A votre avis, pourquoi tant de marques sont actives sur les réseaux sociaux ? Avoir un bon community manager vous permettra d’animer votre communauté, la développer et diffuser vos offres plus facilement. Qui d’autre que le client peut être votre meilleur ambassadeur ? Donner un aspect plus humain à son entreprise, surtout si elle est de taille conséquente, permet de rester dans la mémoire du consommateur. Certaines entreprises n’ont toujours pas compris le principe des réseaux sociaux et l’utilisent pour diffuser leur catalogue au lieu d’adopter un ton informel et fun.
Combinés à votre lettre d’information ils seront un outil puissant, vous pourrez développer votre base de contacts et toucher davantage de clients avec le temps. Il est conseillé d’animer deux à trois fois par semaine au moins vos différents profils sociaux et d’envoyer une newsletter à vos consommateurs au moins deux fois par mois. Pour inciter vos fans et followers à s’abonner à votre newsletter n’hésitez pas à glisser un petit code promo de façon occasionnelle dans votre lettre d’information.

Les programmes de fidélité et de parrainage

Si vous avez eu la chance de vendre des produits et que vos clients ont été satisfaits alors mettez en avant votre programme de fidélité ! Offrez des réductions à vos clients réguliers.

En plus de cela, qui dit client régulier veut forcément dire client heureux sinon ils iraient voir ailleurs. Pourquoi ne pas les inciter à parrainer leurs amis. Chaque parrainage serait l’occasion d’obtenir un bon d’achat ou un code promo.

Un outil de fidélisation puissant

La newsletter permet avant tout de fidéliser les clients d’une entreprise. Elle permet en effet à cette dernière de maintenir une relation avec eux. Pour cela, elle peut utiliser la newsletter comme support du content marketing ou support pour une offre promotionnelle personnalisée. Dans le premier cas, la newsletter vise à offrir aux clients du contenu susceptible de les intéresser et de répondre à leur besoin d’information. Pour concevoir un contenu idéal, les entreprises peuvent se reposer sur les données qu’elles ont récoltées sur chaque client. Un travail qui devrait être particulièrement facile de nos jours avec le big data et des outils comme le protocole Eddystone. Pour rappel, ce dernier permet de récolter un maximum de données depuis un appareil mobile, puis de créer une offre correspondant aux besoins du client en temps réel. Dans le second cas, les entreprises peuvent offrir des codes promos à leurs clients afin de les inciter à consommer régulièrement. Cette approche permet de répondre à un autre besoin du client, à savoir celui de réaliser de bonnes affaires. De plus, les codes promos, et surtout les produits sur lesquels ils portent, peuvent être déterminés avec précision grâce aux données-client.

Automatisez pour plus de résultats

Avec le développement des technologies digitales, la newsletter se présente comme un outil économique. Il est en effet possible d’automatiser son envoi grâce à divers logiciels. Ces derniers assurent avant tout l’inscription du client puis envoient un nombre précis de newsletters afin de pousser le client à réagir. Chaque édition se révèle différente de la précédente. Au moment où le client réagit, la forme de la newsletter est reprise comme base pour les futures éditions. Le client quant à lui passe sur la liste des « profils chauds ». Cette automatisation permet également d’identifier les clients qui ne sont pas encore murs et qui ne nécessitent pas d’action spécifique. Ils recevront alors une édition générique et seront catégorisés comme des « non-clients ». Si l’entreprise ne dispose pas d’une équipe de marketeurs pour prendre en charge la gestion de ses newsletters, il lui est aussi possible d’envoyer sa newsletter avec Clic et Site, ou d’autres services. En effet, avec l’aide d’un professionnel, vous pouvez profiter de l’expérience d’une équipe compétente et vous libérez des contraintes de recrutement. Il pourra réaliser des newsletters personnalisées et assurer l’envoi et le suivi des newsletters.

Pourquoi fidéliser des clients ?

La question peut sembler étrange, mais elle mérite d’être posée puisque les dépenses liées à la fidélisation dépassent parfois les profits générés par la société. Ainsi, les clients méritent-ils une telle attention et est-ce que cela produit réellement des résultats sur le chiffre d’affaires ?

Pour comprendre l’intérêt de la fidélisation client, il se révèle avant tout nécessaire de se pencher sur le fonctionnement d’une société. Celui-ci repose sur le principe de l’offre et de la demande. La société propose un service ou un produit dont le client a besoin et qu’il s’empressera d’acheter.
Cela implique que la société ne peut pas continuer son activité si elle ne possède pas de clients. Cependant, il est rare qu’une société dispose du monopole sur son secteur. Elle doit ainsi faire face à des concurrents, souvent directs, qui essayeront aussi d’accaparer un maximum de clients. La question de la fidélisation trouve tout son sens ici.

Certes, la société doit réussir à attirer le maximum de clients possibles pour avoir l’avantage sur ses concurrents et garantir la pérennité de ses activités. Mais, si elles ne gardent pas ses anciens clients, peut-elle réellement dire qu’elle possède des parts du marché ?
Les clients déjà acquis méritent également d’être fidélisés, car ils constituent aussi une force de vente supplémentaire. Si ceux-ci se révèlent satisfaits des services de la société, ils n’hésiteront pas à inciter leur connaissance à faire appel à cette dernière. Cependant, comment garantir la satisfaction des clients ? En les valorisant grâce à un programme de fidélité et en leur proposant des promotions.

Bref, la fidélisation client se révèle incontournable puisqu’elle permet d’optimiser la force de vente et d’accaparer des parts de marché. Malgré tout, elle doit être étudiée afin de limiter les dépenses et maximiser les retombés positifs.